Le Cage Warriors a décidé de promouvoir le MMA féminin en créant de multiples divisions et en faisant signer des contrats aux meilleures combattantes. C’est ainsi que trois françaises viennent de signer un contrat avec la célèbre organisation européenne après un premier lot d’autres combattantes un peu plus tôt cet été.

Jenna REA, Elodie PUGET et Noelia MOLINA tenteront donc leur chance au Cage Warriors. Ces trois championnes ont pour point commun d’être des combattantes au grand cœur et à la motivation épatante. Elles ne rendent les armes que quand il n’y a plus aucune autre solution.

Jenna Rea (1/1 – Fight Impact) reste sur une victoire en MMA au Cage Conflict contre Bryony Tyrell sur TKO après son combat de l’an passé en pancrace contre Tévi Say lors du PFC 5. Formée au Reaper Squad, la britannique d’origine rejoint cette saison les rangs du fight Impact et vit déjà l’aventure Cage Warriors comme une magnifique aubaine pour elle qui a couru après les combats, annulés les uns après les autres.

Les annulations, Noelia Molina (0/1 – Blackout Academy)  les as connues aussi. spécialiste du pieds poings, avec plusieurs combats de boxe thaï à son actif, une victoire récemment au NAGA et une apparition au ON TOP en Ecosse où elle ne s’inclina que contre l’étoile montante de l’Invicta, l’écossaise Joanne Calderwood, la jeune femme a un cœur énorme et une volonté de feu.

Enfin, Elodie Puget (1/2) est spécialiste du judo. C’est une combattante très complète qui a prouvé maintes fois qu’elle avait un mental de guerrière. Elle s’est déjà essayée au MMA européen à deux reprises et notamment avec une belle résistance à Simona Soukupova (en contrat avec l’Invicta) lors du Kayo MMA, après une victoire en pancrace contre Marina-Victoria Vidal.

Félicitations donc à ces trois combattantes dont on attend désormais la première échéance dans la cage du gala britannique. Pour le MMA féminin français, c'est une belle récompense et on ne doute pas que ces filles-là sont les dignes héritières de nos championnes Tévi Say et Romy Ruyssen.